Protégé : La vie est si complexe
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
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Publié en 2010 par Triptyque — ce titre est épuisé. Icône moustachue de la contre-culture californienne, tantôt compositeur (trop) expérimental, tantôt bouffon provocateur et vulgaire… […]
Depuis quelques années, des spécialistes de la politique américaine redoutent que les États-Unis sombrent de nouveau dans une guerre civile. Les spéculations vont bon train, mais une question n’a pas fait les manchettes : qu’est-ce qui peut nous arriver, au Canada, si les Américains se mettent à s’entretuer ?
Sans prétendre à l’exclusivité, voici un bref survol de lieux et d’occasions de rencontre qui appartiennent à l’histoire du Québec, même s’il en subsiste des reliefs aujourd’hui.
Au Canada, les premières sociétés de tempérance sont apparues chez les protestants à la fin des années 1820.
La littérature québécoise en fascicules, romans d’amour, d’espionnage, policiers, de science-fiction et autres genres, a connu une forte popularité dans les années 1940.
L’histoire de l’intimité au Québec ne manque pas de déclarations solennelles, d’observations piquantes sur les mœurs, de compliments bien tournés ou de calomnies particulièrement vaches, sans oublier de mémorables gaffes. Voici quelques exemples, en ordre chronologique.
Au Québec, les mythes amoureux proviennent d’un genre télévisuel, le téléroman, qui recycle souvent une littérature du terroir (exaltation du travail de la terre, de la vie de famille et communautaire) ainsi que des classiques du roman ouvrier.
Dès l’Antiquité, le mois de février a été associé à l’amour et aux fiançailles.
Le premier carnaval d’hiver à Québec a été célébré en 1894, mais c’est à partir de 1954 que l’événement a eu pour mandat de stimuler le tourisme et le commerce en février, période creuse après Noël et le Nouvel An.