Histoire populaire de l’amour au Québec : commentaires, critiques, recensions, entrevues
15 février 2024 : entrevue pour le quotidien Le Devoir sur le thème des petites annonces amoureuses dans le Québec d’autrefois.
« Le lecteur qui aura lu les deux tomes précédents ne sera pas dépaysé en circulant dans le troisième : même verve de l’auteur, même style limpide et clair à coloration journalistique, même éventail des sources aussi abondantes que diversifiées qui puisent à même l’histoire, l’ethnologie, sans négliger les journaux et les récits de vie qui constituent une référence inestimable pour bien saisir l’air du temps sans le filtre des recherches universitaires », peut-on lire dans un compte rendu de la revue Rabaska (publiée par la Société québécoise d’ethnologie), vol. 21, 2023, p. 264-267.
4 août 2023 : entrevue avec l’animatrice de Julie lit au lit, émission de radio (CKIA FM) et blogue littéraire.
« Avec ce troisième livre, Jean-Sébastien Marsan achève son entreprise et consacre son dernier tome à un siècle marqué par des accélérations sociales foudroyantes. (…) On appréciera cette étude citoyenne, incarnée grâce aux bons choix d’exemples et de citations qui contribuent à une histoire humaine », écrit Jean Rey-Regazzi dans le magazine Histoire Québec (de la Fédération Histoire Québec) vol. 28 no 4, 2023, p. 37.
« Si la définition du mot amour fait souvent davantage référence à celle du mot famille dans cet essai, il n’en demeure pas moins qu’on prend plaisir à survoler des sujets aussi variés que le droit de vote des femmes, la couleur de la robe de mariage, le baby-boom d’après-guerre ou les nombreux lieux de perdition que comporte la ville », écrit la revue Collections (de l’Association nationale des éditeurs de livres) à propos du tome III dans son vol. 10 no 1, avril 2023, p. 19.
« Jean-Sébastien Marsan propose une ambitieuse histoire de l’amour, de la Nouvelle-France à la Révolution tranquille (…) Son Histoire populaire de l’amour montre à quel point les rituels de la rencontre amoureuse étaient lourds, autrefois », écrit l’historien Éric Bédard dans Le Journal de Montréal, 11 février 2023, cahier Weekend, p. 71.
« L’auteur Jean-Sébastien Marsan termine sa trilogie sur l’histoire populaire de l’amour au Québec par ce dernier tome portant sur les années 1860 à 1960. Dans un style accessible et proposant de multiples anecdotes, ce livre raconte les mœurs de la population québécoise de manière vivante », peut-on lire dans un article de La Fabrique culturelle (plateforme numérique de Télé-Québec) intitulé « Huit lectures sur l’amour sous toutes ses formes » (9 février 2023).
Compte rendu du tome III de la série Histoire populaire de l’amour au Québec par l’auteur et chroniqueur Paul-François Sylvestre dans le blogue l-express.ca (média des francophones du Grand Toronto), 28 janvier 2023.
Compte rendu du tome III par le chroniqueur Jacques Lanctôt dans Le Journal de Montréal, 14 janvier 2023, cahier Weekend, p. 81.
Le 16 novembre 2022, entrevue pour le balado Sainte-Nitouche de la radio BLVD 102,1 FM (Québec).
Le 8 novembre 2022, entrevue sur le tome III à l’émission de radio de Canal M Au fil du temps.
Entrevue sur le tome III dans le cybermédia culturel Bible urbaine, 19 octobre 2022.
Le 8 octobre 2022, à l’émission Dessine-moi un matin (ICI Radio-Canada Première), entrevue sur la sortie du tome III.
Compte rendu publié dans la revue Rabaska, vol. 19, 2021, p. 304–308 : « Marsan expose l’éventail complet de nos coutumes traditionnelles. Le portrait qu’il en dresse prend des allures encyclopédiques. Tout y passe, et l’auteur prend un soin attentif à démêler les faits des préjugés qui leur tiennent lieu. (…) Marsan possède une plume alerte, un style vif et coloré. Son livre se lit comme un roman. Son érudition, étayée par d’abondantes références, sait se faire discrète tant il maîtrise les données de son sujet. »
« Avec toute l’habileté qu’il a déployée dans le tome précédent, Jean-Sébastien Marsan présente la manière dont la Conquête a transformé les coutumes et les règles de sociabilité au sein de la province. Il aborde ici les fréquentations, les poèmes, la Saint-Valentin, la scène culturelle, la danse et les amours épistolaires », peut-on lire dans un compte rendu du tome II publié par la revue sur l’histoire québécoise Cap-aux-Diamants no 146, été 2021, p. 51-52.
« C’est un livre divertissant car il est truffé d’anecdotes aussi croustillantes les unes que les autres. On apprend certaines choses sur l’histoire de la Nouvelle-France. En fait, on découvre comment les évènements se sont déroulés, et cela, sans l’interprétation teintée de la religion », écrit une blogueuse (pseudo : Phrenssynnes) le 10 juillet 2021 à propos du tome I.
Commentaire sur le site web quialu.ca, communauté de partage de lectures, 16 mai 2021 : « Au final, je recommande ce livre à toutes les curieuses et tous les curieux de notre passé : les informations qu’il contient sont pertinentes, éclairantes, amusantes. »
« En 2019, un livre étonnant, avec pour sujet l’amour en Nouvelle-France, arrivait en librairie. La suite des aventures de nos ancêtres concerne cette fois-ci les années 1760 à 1860. (…) ce livre, porté par une écriture directe et claire, s’avère une excellente synthèse », écrit une critique dans le no 180 de la revue Lettres québécoises, printemps 2021, p. 83.
« Après avoir exploré l’histoire de l’amour sous le régime français, Jean-Sébastien Marsan nous revient avec un second tome se penchant cette fois-ci sur la question des années 1760 à 1860. On y découvre les enjeux que vont poser l’arrivée des Britanniques dans la colonie et la façon dont ils vont, bien souvent inconsciemment, transformer le rapport des Canadiens aux relations amoureuses », peut-on lire dans un blogue de la radio officielle de l’Université Laval, CHYZ 94,3 FM (17 février 2021). Sur CHYZ 94,3 FM, l’émission Chéri-e, j’arrive ! du 17 février 2021.
« C’est un ouvrage que je recommande même à celles et ceux qui ne sont pas féru(e)s d’histoire car le ton est léger, captivant et souvent très drôle », écrit une collaboratrice de la plateforme Historiamati.ca (promotion des humanités numériques et de l’éducation populaire) dans un compte rendu du tome I (29 janvier 2021).
« Au Québec, sous le Régime anglais, l’Église ne parviendra jamais à policer complètement les mœurs, à bannir le concubinage, la bigamie, l’adultère, la prostitution ou la simple attirance entre deux célibataires nullement pressés de se marier. Ce n’est pas parce qu’elle n’a pas essayé, explique Jean-Sébastien Marsan dans Histoire populaire de l’amour au Québec, tome II, 1760-1860 » — blogue l-express.ca, 27 janvier 2021.
« (…) ce premier tome, sous-titré “avant 1760” et traitant du Régime français, apparaît comme un véritable tour de force. À la fois instructif et divertissant, il saura plaire autant à l’initié qu’à l’intrigué, grâce au portrait humain qu’il brosse de cet univers qui, parfois, nous paraît si lointain », écrit un critique de Cap-aux-Diamants, no 144, hiver 2021, p. 60.
« 2 tomes qui couvrent toutes les facettes — romantiques, coquines, surprenantes, révoltantes – de l’amour, de la Nouvelle-France à la Révolution tranquille », mentionne le journal La Sentinelle (Chibougamau) du 19 décembre 2020.
« Je suis choqué d’apprendre que des Canadiennes ont accepté de pactiser avec l’ennemi après la défaite, alors que la ville de Québec était en ruines en raison des bombardements de l’armée anglaise », écrit l’auteur et chroniqueur Jacques Lanctôt sur le tome II dans Le Journal de Montréal, 12 décembre 2020, cahier Weekend, p. 41.
Billet dans le blogue Les chroniques d’une cinglée, 4 décembre 2020 : « Inutile de dire que ce deuxième volet qui couvre la période de la Conquête de 1760 jusqu’aux tout début des années 1860, je l’attendais avec grande impatience. Au point de me le procurer illico dès sa sortie il y a quelques semaines. (…) Au final, on découvre qu’au cours de cette période, c’est littéralement la définition de l’amour et du mariage qui évolue. »
« Si vous voulez savoir qui couchait avec qui avant 1760 », lisez le tome I de la série Histoire populaire de l’amour au Québec, suggère la chroniqueuse Émilie Perreault à l’émission Cette année-là diffusée par Télé-Québec le 28 novembre 2020.
« Avec un constant souci de vulgarisation, dans une langue accessible à tous, l’auteur se réfère aux récits d’historiens reconnus (…) Nul doute que le tome 2 saura susciter tout autant l’intérêt ! », écrit Jeannine Ouellet dans le magazine Histoire Québec vol. 26 nos 1-2, 2020, p. 39.
« (…) souhaitons un large lectorat à ce livre imparfait mais vivant, qui pourra ouvrir d’autres portes au lecteur avide de récits historiques savoureux et pittoresques », écrit un critique du magazine littéraire Nuit Blanche, 27 juillet 2020.
Commentaire dans Les Libraires no 116, décembre 2019-janvier 2020, p. 35 : « Même en ayant un baccalauréat en histoire, j’avoue avoir appris beaucoup de choses en parcourant les pages du livre du journaliste Jean-Sébastien Marsan. »
Commentaire dans le blogue Les Mille et une pages LM et sur la plateforme de partage de lectures quialu.ca, 29 novembre 2019 : « ce récit est intéressant, habile et très accessible ».
Billet dans le blogue Les chroniques d’une cinglée, 27 novembre 2019 : « Vraiment, j’ai adoré ce livre que j’ai lu sans pouvoir m’arrêter tellement j’avais l’impression de me retrouver en plein cœur du romanesque. »
« Cette Histoire populaire de l’amour au Québec, tome 1, qui va du début de la colonisation jusqu’en 1760, me réconcilie avec moi-même et avec mes modestes origines », écrit l’auteur et chroniqueur Jacques Lanctôt dans Le Journal de Montréal, 12 octobre 2019, cahier Weekend p. 46.
Le mensuel L’Aut’Journal reproduit un extrait du tome I dans son no 383, octobre 2019, p. 2.
L’auteure Caroline Allard et l’historien Daniel Turcotte commentent le tome I à l’émission de radio Plus on est de fous, plus on lit ! (ICI Radio-Canada Première) du 1er octobre 2019.
« Ouvrage de vulgarisation, ce premier tome d’une Histoire populaire de l’amour au Québec constitue un résumé intelligent de documents connus et d’ouvrages de spécialistes », écrit Jean-François Nadeau dans Le Devoir, 13 septembre 2019, p. A10.
Entrevue le 11 septembre 2019 à l’émission de radio Le 15-18 (ICI Radio-Canada Première).
« Mariages, adultères, homosexualité et autres stupres figureront au nombre des sujets abordés afin de nous raconter leur influence sur la construction de notre nation » — Les Libraires no 114, septembre-octobre 2019, p. 58.
Recension dans le site web Culturehebdo.com, septembre 2019 : « A bien y penser c’est vrai, avant Jean-Sébastien Marsan on ne s’était jamais arrêté à la petite histoire qui fait la grande, de l’amour au Québec. (…) A comparer à la diminution de la séduction qui prévaut au Québec présentement à l’ère numérique, qu’est-ce qu’on baisait en Nouvelle-France. »
Le 10 juin 2015, participation à l’émission de radio La nature selon Boucar (ICI Radio-Canada Première) sur le thème « La fleur et la séduction ».